De Madrid à Valence.
Du triomphe de Valence à celui de Séville où il chante le Miserere de son maestro bien-aimé, le Navarrais D. Hilari n Eslava, dans la cathédrale comble. Triomphe constant au théâtre San Fernando et adieu entre palmiers et fleurs.
Retour à Londres. A Covent-Garden, il chante The Prophet et Freysch tz avec le succès habituel. D'ici à la vallée de Roncal, en Navarre, pour se reposer, manger avec tout le monde sur la place. Les propositions pleuvent sur lui d'Amérique, sans en accepter aucune. Celui du Liceo de Barcelona en a tenu compte. Le télégramme de Pepe Elorrio était expressif -J. Enciso- : "Notre homme chantant Favourite Liceo, ovation indescriptible. Dernière romance, public en délire. Pepe". Il devait se rendre à Palma de Majorque, avec Los Huguenotes et l'éternelle Favorite . La nuit d'adieu, il a été emmené entre axes, en musique, du théâtre au Circulo Mallorqun où il a eu droit à un splendide dîner.
MEL