A la mort de Ferdinand VII, il est confronté au dilemme des loyautés, sur lequel sa situation a dû peser. C'est ainsi que Villalba (1897) l'envisage lorsqu'il le décrit :
"Cœur très fort, compréhension créative de la stratégie, volonté de fer et condition très susceptible de se blesser. Zumalac rregui était un homme attentionné. Ses affections familiales et ses propres inclinations l'ont conduit vers la liberté, qu'il a servie avec une grande décision son frère D. Miguel ; l'injustice l'a conduit au camp carliste".
Le 2 novembre 1833, il quitte subrepticement la ville, recevant le 14 la nomination de Commandant général de Navarre après avoir juré « adhésion aux Fueros y Leyes de Navarra ».